Le Dzogchèn et le “soulagement” des émotions au jour le jour (5) - La dépression

Le Dzogchèn au quotidien

Dans ce cinquième épisode de la série « le Dzogchèn au quotidien », nous continuons d’explorer le soulagement des émotions en nous concentrant plus particulièrement sur un groupe d’émotions rassemblant la déprime, la dépression, la perte de sens et de repères de l’existence. Mila Khyentse et Paul Baffier partagent leur expérience et leurs conseils sur ce sujet touchant une grande partie de la population et spécialement les nouvelles générations.

Hôte : Grégoire

Notes

Le Dzogchèn est une tradition directement accessible, qui peut être pratiquée de différentes manières dans notre vie quotidienne et qui se concentre sur la libération de la souffrance et la mise en œuvre des moyens pour y parvenir. Dans cet épisode, nous explorons le mécanisme de la dépression grâce au précieux témoignage de Paul, son origine, et la manière dont nous pouvons y remédier.

Points essentiels :

Série « Le Dzogchèn au quotidien », Épisode 5 : Le Dzogchèn et le “soulagement” des émotions au jour le jour – la dépression.

1. Récit personnel et expérience de Paul - “coincé dans le tunnel noir”, le “fond sans fond” et le “rat intérieur”. Un vide intérieur qui s’auto-alimente continuellement.
2. Observer et écouter avant de vouloir en sortir (6’50’’).
3. La colère à la source de la dépression. Dépréciation de soi qui se répand sur toute la réalité (8’40’’).
4. Ignorance à la base qui entraîne des états de vide ténébreux, de trous noirs. Plus rien n’est reconnu, à part sa propre tendance à la destruction (10’).
5. Clarté sur soi-même par des techniques de concentration sur les pensées (12’30’’).
6. Stase sans mouvement ni direction, état monolithique sombre. La clarté ré-entraîne le mouvement qui nous “sort” alors de la dépression (16’).
7. Sortir du trou, reprendre du mouvement, re-dynamiser (17’).
8. Exercice sur la luminosité (20’’).

À emporter :

Vacuité et luminosité sont les caractéristiques fondamentales de notre esprit.

Observer sa propre nature fait naturellement gagner en clarté.

“Sortir” de la dépression en observant la luminosité en nous.