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CAPSULE 1 LES MOTS DE PAULIN LEURIDAN
Manage episode 258020841 series 2139317
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https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/soutenez-la-boulangerie-pain-paulin/tabs/backers
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui voulait devenir boulanger et qui fera 2 rencontres déterminantes durant ses dix années d’intentions, de pensées, de recherches, d’apprentissage, d’économies. La première avec Benoit Fradette, dit le Farinoman fou, permettra l’initiation d’un néophyte. La deuxième avec Thomas Chambelland, à l’École Internationale de Boulangerie, l’aidera à poser définitivement les bases d’une boulangerie différente, naturelle, bio, au levain.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.
Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.
Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.
Pain Paulin, c’est l’histoire de personnes impliquées comme tant d’autres et qui peut-être ne survivront pas à cette crise, et c’est l’histoire d’un homme imparfait qui est obligé de faire appel aux cito...
…
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Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui voulait devenir boulanger et qui fera 2 rencontres déterminantes durant ses dix années d’intentions, de pensées, de recherches, d’apprentissage, d’économies. La première avec Benoit Fradette, dit le Farinoman fou, permettra l’initiation d’un néophyte. La deuxième avec Thomas Chambelland, à l’École Internationale de Boulangerie, l’aidera à poser définitivement les bases d’une boulangerie différente, naturelle, bio, au levain.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.
Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.
Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.
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Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme qui fantasmait l’idée d’ouvrir un petit atelier de pains d’auteurs au bord de l’eau, au Cap Ferret, sur la Presqu’ile du Bonheur, ceinturée par le Bassin et l’Océan, au fond d’une impasse bordée de forêt. Il se fera finalement happer par les vagues, essayant de ne pas trop boire la tasse pour éviter de se noyer durant les premiers 18 mois. A force de journées interminables, la deuxième année l’entreprise fut hors d’eau sur le papier, et des banquiers acceptèrent de le suivre sur un projet bordelais afin de pérenniser et stabiliser l’activité mensuelle.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.
Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme mais surtout d’un ensemble d’individus qui fait vivre ce laboratoire. Vous ne mangez pas que le pain de Paulin ; c’est aussi celui de Guillaume, Manuel, Morgan, Farid, Clément, Matthieu, ainsi que de Sylvie, Louise, Lucie, Isabelle, Xavier, Jean-Yves de l’équipe de vente, ou encore de Stéphane, le meunier. Aucune prétention, aucune révolution. En revanche, beaucoup d’intentions : offrir des pains aux arômes différents, aux saveurs étonnantes, surprendre, éveiller des curiosités, des sensibilités. À quoi bon reproduire ce qui existe déjà ? La singularité dans la vie de chacun est primordiale. Demeurez chaque jour meilleursqu’hier.
Pain Paulin, c’est l’histoire de femmes et d’hommes qui ouvrirent en ville le lundi 16 mars 2020, au moment où s’arrêta la France entière. Le matin, l’effectif doublait. Impossible d’entreprendre avec la crainte ou le doute, il fallait être solidaire, optimiste dans l’avenir. Mais les citoyens se sont détournés du pain et les co-pains faisaient entre -20% et -80% de ventes. Terrible constat. Que mangeaient-ils? Que faisaient-ils de ce beau symbole, le pain que l’on partage, qui nous accompagne au quotidien ? Comment tenir financièrement pour continuer à offrir ce service à la population ? Accepter de perdre entre 400 et 500€ par jour de trésorerie au lieu d’être auprès des siens et espérer que le confinement finisse avant que nous mourrions.
Pain Paulin, c’est l’histoire de 3 femmes et 8 hommes qui remplissent leur mission chaque jour, au détriment de leur santé et par fierté alors qu’ils auraient eu le droit de se retirer. Pain Paulin, c’est l’histoire d’une entreprise qui a choisi de rester ouverte pour réaliser sa mission, offrir du pain à la population et lutter contre l’épidémie en luttant contre la faim, persuadé que la situation serait bien pire avec le manque de nourriture.
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Pain Paulin, c’est l’histoire d’un homme dont le rêve s’est transformé à l’ouverture en cauchemar et qui s’est retrouvé enfermé dans l’urgence du quotidien, bien loin de ces idées de départ : la recherche, le plaisir, la recherche du plaisir. La réalité lui imposa de travailler loin de ses terres et d’y ouvrir un vaisseau amiral pour approvisionner son petit atelier du Ferret qui ne sera jamais à l’équilibre 10 mois de l’année. Pain Paulin a vu le jour sur le Bassin et il y restera, par fidélité et par loyauté envers son petit cercle de supporters.
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55 ตอน
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×Pour le lancement de cette 8ème saison de Ceux qui nous lient , mon invitée est Lauren Malka. J’ai connu Lauren il a longtemps lorsqu’elle était jeune étudiante au Celsa, elle était mon élève alors que j’étais à l’époque encore doctorante. Aujourd’hui Lauren Malka est journaliste, et comme on va le voir, sa grande curiosité et son sens de l’analyse font qu’elle aime approfondir des sujets très variés, son coeur de métier restant le journalisme culturel. Je l’ai interviewée à l’ocassion de l’anniversaire de la sortie de son dernier ouvrage, Mangeuses, histoires de celles qui dévorent, savourent ou se privent à l’excès , paru en octobre 2023. Mais nous sommes d’abord revenues sur son parcours professionnel, puis nous avons abordé la genèse et les étapes liées à l’écriture de l’ouvrage en question, largement inspiré par l’écriture d’un premier documentaire, La France aux fourneaux , qu ’elle à co-écrit et qui a été diffusé sur france 5 en 2020. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J’ai rencontré Marion Chatel-Chaix le 5 avril 2024 chez elle à Paris. Marion Chatel-Chaix est designer culinaire, et elle a pris le temps de nous expliquer en détails en quoi consistait un métier très diversifié en termes de réalisations, mais parfois encore mal compris du grand public. Ensemble, nous sommes revenues sur son parcours et sur son passage de l’univers de la mode à la celui de la gastronomie, en pointant des rencontres importantes, comme avec Marc Brétillot, designer culinaire et intervenant à l’ESAD, ou bien Alexandre Gauthier, le chef de la Grenouillère. Marion Chatel-Chaix a aussi évoqué les questionnements et difficultés rencontrées au cours sa carrière, ainsi que la nouvelle direction qu’elle souhaite prendre dans le cadre du développement de son activité professionnelle. https://marionchatelchaix.com/ https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-podcast-de-marion-chatel-chaix/id1498202121 Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J'ai rencontré Hélène Luzin le 19 décembre 2023, chez elle, à Montrouge. Hélène Luzin est la Fondatrice de Marques et chefs, une agence qui vise à faire le lien entre les chefs et les marques. Elle est aussi autrice culinaire puisqu’elle a signé trois ouvrages parus aux éditions de la Martinière : 50 plats de grands chefs qu’il faut avoir goutés une fois dans sa vie 50 gâteaux de pâtissiers qu’il faut avoir goutés une fois dans sa vie 50 chefs de la relève gastronomique qu'il faut avoir rencontrés une fois dans sa vie Hélène Luzin m’a d'abord expliqué en quoi consistait son rôle d’agente food, elle est ensuite revenue sur l’origine de la création de son entreprise ainsi que sur son parcours professionnel. Elle m’a parlé de l’importance de sa famille, et en particulier de l’influence de son père qui a contribué à lui forger un palais, en partageant avec elle depuis toujours son intérêt pour la gastronomie. Nous avons aussi évoqué sa perception d’un milieu en mutation, mais aussi les expériences qui l’ont le plus marquée ou encore la façon dont elle transmet à son tour sa passion à ses filles. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J’ai rencontré Juliette Oury le 23 novembre 2023 à Paris, dans les bureaux de son éditeur, Flammarion. Après une carrière dans la haute fonction publique, Juliette Oury se consacre en ce moment à l’écriture et vient de publier son premier roman, Dès que sa bouche fut pleine. C’est un roman très original qui aborde des thématiques fortes à travers un principe d’inversion du sexe et de la nourriture. Durant notre discussion, Juliette Oury nous a parlé de la relation qu’elle entretenait avec l’écriture et des éléments déclencheurs qui avaient permis à ce livre de prendre forme. Elle a aussi évoqué sa relation à la nourriture et à la cuisine, ainsi que les sensations provoquées par la dégustation, tout en les mettant en perspective avec sa pratique littéraire. Nous sommes aussi revenues sur les thématiques abordées dans l’ouvrage qui sont des sujets importants dans notre société, intéressants à mettre en lumière par le prisme de la littérature. Dès que sa bouche fut pleine, de Juliette Oury, Flammarion, 2023 https://www.fnac.com/a18186895/Juliette-Oury-Des-que-sa-bouche-fut-pleine Mangeuses. Histoire de celles qui dévorent, savourent ou se privent à l’excès, de Lauren Malka, préface de Ryoko Sekiguchi, Les Pérégrines, « Genre ! », 2023 https://www.fnac.com/a18268238/Lauren-Malka-Mangeuses-Histoire-de-celles-qui-devorent-savourent-ou-se À la recherche de l’orgasme gastronomique, dirigé par Kilien Stengel, Collection : Questions alimentaires et gastronomiques, éditions L’Harmattan, 2023 https://www.fnac.com/a19070978/Kilien-Stengel-A-la-recherche-de-l-orgasme-gastronomique Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
Mon invitée est Marine Kermagoret. Je l’ai rencontrée le 23 aout 2023 à Merrien. Marine Kermagoret est ostréicultutrice et elle ne produit que des huitres naturelles. Nous avons évoqué son parcours, et les éléments déclencheurs qui l’ont amenée à décider de reprendre l’entreprise familiale à la suite de son père et de son grand-père. Nous avons évidemment abordé la question des huîtres triploïdes, ces huîtres qui inondent le marché ostréicoles : créées artificiellement, elles contiennent trois jeux de chromosomes. Plus largement, nous sommes revenues sur la culture des huîtres, les problèmes liés à la pollution, et sur le fait que le mode de production des huîtres qu’ils servent reste encore souvent mystérieux pour les chefs. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J'ai rencontré Sabine Bucquet-Grenet le 16 juin 2023 dans les murs des éditions de l’Épure dans le 14ème arrondissement de Paris. Sabine Bucquet-Grenet est la co-fondatrice des éditions de l’Épure, spécialisées dans l’édition culinaire. Nous sommes revenues sur son parcours d’éditrice et sur les spécificités de sa maison d’édition. Nous avons abordé les enjeux qui traversent l’édition culinaire aujourd’hui, mais aussi les motivations qui influencent ses choix éditoriaux ainsi que sa façon de travailler. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
Je suis Camille Brachet et mon invité est Romuald Vincent. Je l’ai rencontré le 9 mars 2023 à Boulogne-Billancourt. Maître liquoriste, il est le fondateur de Maison Dâme, qui produit des spiritueux artisanaux, mais c’est aussi le créateur de Djin Spirits, le premier gin sans alcool produit en France. Je l’ai précisément invité pour évoquer l’engouement des boissons sans alcool de qualité, celles qui proposent une expérience gustative riche et complexe au moment de la dégustation. Romulad Vincent utilise d’ailleurs le terme « esprits de plantes » pour parler de son Djin sans alcool, car c’est avant tout le travail de distillation qu’il souhaite mettre en avant. Ensemble nous avons évoqué les différentes manières de produire des spiritueux sans alcool, mais aussi les différentes façons de consommer ces apéritifs sans alcool aujourd'hui. L’offre de qualité ne cesse de se diversifier et il est intéressant des questionner notre approche de ces breuvages qui restent encore trop méconnus du grand public. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J'ai rencontré Valentine Franc le 8 décembre 2022, chez elle à Paris. Valentine Franc a un parcours atypique et riche en rebondissements, puisqu’après une carrière de costumière au cinéma, elle est aujourd’hui propriétaire de la ferme de Montaquoy, à Soisy-sur-école, en pays gâtinais. Valentine Franc nous a expliqué comment s’était passé ce changement de voie, elle nous a parlé de ce lieu unique et de ce qu’elle y faisait, elle nous a expliqué ce qui l’avait amenée à la culture des blés anciens, puis à produire de la farine, puisqu’à la ferme se trouve un moulin qui fournit plusieurs boulangers, tous reconnus pour leur excellence. En fin d’épisode, Valentine Franc a aussi évoqué les nombreux projets qu’elle souhaite développer à la ferme, aussi bien à court qu’à long terme, comme un whisky local sur lequel travaille actuellement sa fille. La Ferme de Montaquoy https://www.montaquoy.com/ Régis Franc, La Ferme de Montaquoy, qui court la campagne trouve le chemin, éditions Presses de la Cité, 2022 https://livre.fnac.com/a16959104/Regis-Franc-La-Ferme-de-Montaquoy-Qui-court-la-campagne-trouve-le-chemin Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J'ai rencontré François Motte le 15 novembre 2022, chez lui à Paris. Il organise des dîners d’exception, est un féru de vaisselle vintage et il vient de publier un livre consacré à cet art de la table en particulier, intitulé Seconde Main, 32 tables de fêtes chinées et autant de recettes qui vont avec, aux éditions Hachette Pratique. Pour la partie recettes, François Motte a travaillé en collaboration avec la cuisinière Sonia Ezgulian. Durant cet entretien, nous sommes d’abord revenus sur son parcours et sur les spécificités d’un métier finalement assez peu connu, qui allie l’événementiel, la gastronomie, et l’art de la mise en scène. François Motte nous a ensuite expliqué d’où provenait l’idée du livre Seconde Main, comment s’était passé la réalisation, et de quelle manière il abordait l’art de chiner en général. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J’ai rencontré Manon Fleury le 23 septembre 2022 à Paris au Perchoir Ménilmontant, dans le restaurant où elle est actuellement cheffe en résidence. Nous avons évoqué ensemble son parcours professionnel, ainsi que les différentes étapes qui ont ponctué son cheminement. Manon Fleury nous a parlé de son engagement éco-responsable et de la façon dont il se traduisait dans sa cuisine, de son implication dans l’association Bondir qui lutte contre les violences en cuisine, et de ce qu’implique le fait d’être dans une femme quand on travaille dans l’univers de la restauration et de la gastronomie. Elle nous a évidemment présenté son premier livre, Céréales, les recettes d’une cheffe engagée, qui vient de sortir aux éditions Flammarion, puis nous avons conclu en évoquant des projets professionnels qui se dessinent. Photographie © Pauline Gouablin Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
Episode 36 Catherine Flohic by Camille Brachet Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J'ai rencontré Patrick Bouchain le 11 février 2022 à Paris dans le restaurant de Claude Colliot. Patrick Bouchain est architecte, mais aussi urbaniste, ou encore scénographe. Il s’est toujours positionné ailleurs, avec une volonté très forte de faire autrement. L’objectif de notre entretien n’était pas de revenir sur l’ensemble d’une carrière conséquente, mais bien de se focaliser sur sa façon d’aborder les restaurants en tant que créations architecturales. Nous avons évidemment évoqué le contexte global de son travail, les différentes collaborations qu’il a pu faire avec des artistes et professionnels issus d’univers très différents. Je l’ai interrogé sur ce qui le distinguait des autres mais aussi sur le fil conducteur qui a traversé l’ensemble de sa carrière, afin de mieux saisir pourquoi et comment il avait accepté les projets de restaurants sur lesquels il a travaillé. Il m’a donc expliqué en quoi ses échanges avec Marie-Pierre et Michel Troisgros n’avaient rien à voir avec les discussions qu’il avait eues avec Alexandre Gauthier par exemple, chaque projet ayant été accepté pour des raisons différentes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J'ai rencontré Jean-Jacques Boutaud le 15 février 2022 à Paris, après une intervention au salon Vinexpo à Paris Expo porte de Versailles, comme l’indique le fond sonore. Jean-Jacques Boutaud est professeur en Sciences de l’information et de la communication émérite, il est spécialiste des signes et de l'approche sémiotique en communication sensorielle, et c’est un des premiers chercheurs à s’être emparé de la gastronomie et l’alimentation comme objets de recherche. L’objectif de cet entretien était de revenir sur un parcours universitaire qui a ouvert de nombreuses portes et posé les fondations de la recherche actuelle, mais aussi de comprendre comment les sujets liés au sensoriel, au goût, aux cultures alimentaires ont trouvé leur place dans le champ universitaire, et plus particulièrement dans une discipline, les Sciences de l’Information et de la Communication. Durant notre discussion, nous sommes donc revenus sur l’origine de la discipline et l’émergence d’un champ de recherche, mais nous avons aussi abordé les évolutions et les différentes manières de traiter les sujets en lien avec l’alimentation. Quelques publications: Boutaud, J.‐J., Berthelot-Guiet K., Sémiotique, mode d'emploi, Le Bord de l'eau, coll. « Mondes marchands », 2014. Boutaud, J.‐J., Véron E., Sémiotique ouverte, Itinéraires sémiotiques en communication, Paris‐Londres, Lavoisier‐Hermès Science Publishing, coll. « Forme et sens », 2007. Boutaud, J.‐J., Scènes gourmandes. Marché, cuisine, table, Préface de J.‐P. Billoux, Paris, Jean‐Paul Rocher Éditeur, 2006. Boutaud, J.‐J., Le sens gourmand. De la commensalité, du goût, des aliments. Préface de Pascal Picq (Collège de France), Paris, Jean‐Paul Rocher Éditeur (traduit en italien, 2010), 2005. Boutaud, J.‐J., L’Imaginaire de la table (dir.), Paris, L’Harmattan, 2004. Boutaud, J.‐J., Comunicare, semiotica si semne publicitare, Préface de Yves Jeanneret, Bucarest, Tritonic (2e édition 2005), 2004. Boutaud, J.‐J., d’Hauteville F. et Le Bœuf C., Communiquer le sensoriel, Montpellier, Éditions Agropolis, 2004. Boutaud, J.‐J., Sémiotique et Communication, Paris, L’Harmattan (traduit en espagnol, Barcelona, Gedisa Publishing House, trad. Gaston de Lazzari), 1998. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J'ai rencontré Héloïse Adam le 14 janvier 2022, à Concarneau, dans le Finistère. Il y a quelques années, elle et son compagnon Jean-Baptiste Laurain ont ouvert Albertine, une librairie généraliste qui propose une sélection en lien avec les convictions de ses propriétaires : des choix pointus en matière de sciences humaines, d’écologie, de féminisme, de cultures alimentaires, et évidemment de littérature. Mais ce qui a tout particulièrement attiré mon attention dans le cadre de ce podcast, c’est l’ouverture il y a quelques mois d’une annexe à la librairie, un deuxième espace de vente appelé Au Bal, dans lequel les libraires ont installé les rayons livres pratiques, arts, bande-dessinée, manga et jeunesse, mais qui fait aussi dépôt de pain. À la librairie au BAL on trouve donc du pain, et pas n’importe quel pain, puisqu’il s’agit de celui de Facteur Mouton, un couple de boulangers de Bannalec qui travaille à l’ancienne et qui propose un pain d’une très grande qualité. Vendre des livres et du pain dans un même lieu, l’idée est intéressante, et peut paraitre surprenante même si au fond, elle est plutôt cohérente. J’avais donc envie d’interroger Héloïse et Jean-Baptiste sur la genèse de ce projet. Empêché au dernier moment, c'est finalement Héloïse seule qui est revenue sur leurs parcours respectifs et nous a expliqué les spécificités de leur librairie concarnoise. Elle a évoqué leurs reconversions professionnelles, son goût pour l'organisation d'événements, et le changement de vie radical lié à leur installation en Bretagne. Librairie Albertine /Au Bal 5 Rue des Écoles 20, rue Villebois-Mareuil 29900 Concarneau Facebook / Insta @librairiealbertine Boulangerie Facteur Mouton/ Hélène Auvray & Florien Deredec Ferme de Quimerc'h 29380 BANNALEC http://facteurmouton.fr Facebook Facteur Mouton Insta @boulangeriefacteurmouton Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
J’ai rencontré Matali Crasset le 17 novembre 2021 chez elle à Paris. Matali Crasset une artiste connue pour son travail de designer dans des univers très éclectiques. Au cours de notre discussion, nous avons bien sûr évoqué avec beaucoup d’intérêt ses réalisations en lien avec les mondes du culinaire : la conception d’un verre destiné à la dégustation de vin nature dans la nature par exemple, sa récente collaboration avec Confiture Parisienne, ou encore la réflexion autour d’un couteau pensé pour Pierre Hermé il y a quelques années. Matali Crasset a aussi travaillé sur de nombreux espaces en lien avec la convivialité : des CROUS, des hôtels, mais aussi des restaurants : nous sommes donc revenus sur les spécificités de tels lieux, et sur la manière de penser des usages et des identités adaptées. Nous avons également évoqué sa participation à l’ouvrage collectif La Cuisine de l’Oasis, Se nourrir de l’essentiel qui vient de paraître aux éditions du Cherche-midi, ainsi que son projet de ferme-hôtel, La ferme HI-bride, qui ouvrira au printemps à Villelaure, dans le Luberon. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.…
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